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MessagePosté: Mar Mai 27, 2008 1:43 pm 
Jeune Troll

Inscription: Lun Mai 05, 2008 3:41 pm
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Interstellar Fugitive a écrit:
hugues a écrit:
ont peut facilement imaginer un autre genre en subjectif, un film d'amour, un thriller, un policier, une récit initiatique.


Bonne nouvelle le porno aussi se met au subjectif!!!!

Sinon je suis pas à fond avec Garraty pour dire que le monstre de Godzilla est là pour illustrer les dangers du nucléaire, si vous avez vu le godzilla avec Jean Reno, le nucléaire ça fait pas peur, moi je pense plus à Jurassic park quand j'ai vu ce film.
J'ai trouvé malsain ce besoin de tout filmé que l'on voit dans Cloverfield, c'est très représentatif d'une époque, bref ce film n'est pas appellé à devenir une référence pour les générations futures, je pense que même les new-yorkais n'en ressortent pas traumatisé. J'ai pas encore peur dans New york la nuit alors que la forêt de blairwitch la nuit...

Après Rec j'ai pas vu désolé


Je parlais du Godzilla japonais évidemment.
Et justement, ce besoin de tout filmer dans Cloverfield, très représentatif d'une époque, comme tu le dis, eh bien c'est justement pour représenter cette époque qu'il est filmé de cette manière.
Quand je dis que le gros monstre symbolise la peur d'un pays, c'est assez vrai: les King Kong, Godzilla, et Cloverfield sont sortis à des époques où leur pays producteur était dans une période de malaise, de guerre, ou autre.
Symboliquement, le gros monstre symbolise les peurs d'un pays. Après, tu me parles du Godzilla de Jean Reno, ça a peu de rapport, car c'est un remake d'un godzilla japonais, sorti peu après la seconde guerre mondiale...
Jurassic Park, c'est différent aussi: ce n'est pas un gros monstre qui attaque une ville; excepté le 2, mais le 2 est une sorte de remake de king kong, donc bon...
Le monstre qui détruit tout= peur matérialisée d'un peuple.


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MessagePosté: Mer Mai 28, 2008 11:03 pm 
Vieux Troll
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Inscription: Sam Fév 10, 2007 10:01 am
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ouais mais quand même autant les King kong ont eu du succés, les godzilla aussi, autant je pense que Cloverfield aura surement moins de succés.
Faut dire que j'estime qu'on a tellement été pour des truffes pendant la mort en direct du World Trade Center que la psychose américaine (je fais pas du négationnisme, je tape sur le fait que les médias ai réussi à plonger dans l'émotionnel larmoyant une bonne partie de la planéte), moi je m'en tamponne un peu.
Ha, quand on se croit le centre du monde...

Sinon en acceptant l'idée de Garrty je dirais que les états Unis d'Amérique y ont souvent été dans le malaise vu le nombre de films catastrophes qui sortent!!!

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MessagePosté: Dim Juin 01, 2008 9:45 pm 
Vieux Troll
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Inscription: Sam Fév 10, 2007 10:01 am
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Localisation: somewhere/sometime
J'ai vu "REC"
disons que l'utilisation de la caméra subjective renforce l'impression d'oppression, dans le sens où on est pris au piége comme les persos.
Là où c'est bien utilisé c'est pour rendre compte de la cécité (comme dans "Blair Witch"), dans les apparts noirs et dans les combles.
Cloverfield c'était trop peu servi de la caméra subjective pour rendre compte de cet aveuglement, donc mon avis c'est que dans Cloverfield on en voit trop, la caméra est donc mal utilisé donc on flippe peu.
Préparez vous à sursautez quelques fois en voyant "REC" (moi perso malheureusement une fois seulement: sur l'ouverture de la trappe des combles), dans la salle globalement je pense qu'il y avait des habitués du genre car peu de murmures de frayeur.
Après forcément la limite à l'utilisation de la subjectivité, c'est la narration. Forcément on est limité dans le récit à une succession de scène chronologique, du coup impossible de perdre le spectateur dans un récit à base de flashback.
Sinon rien de nouveau sous le soleil, "REC" ne peut faire mieux que le "Zombis" numéro 2 de Romero (je le compare car on retrouve, des gens pris au piège, un confinement forcé, etc...)
Enfin pour une fois, le générique de fin est vachement tranché par rapport au film et donc on repart le cœur léger de la salle. Je vous conseille donc de rester en salle pour l'entendre.

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MessagePosté: Lun Juin 02, 2008 8:30 am 
Jeune Troll

Inscription: Lun Mai 05, 2008 3:41 pm
Messages: 35
Interstellar Fugitive a écrit:
J'ai vu "REC"
disons que l'utilisation de la caméra subjective renforce l'impression d'oppression, dans le sens où on est pris au piége comme les persos.
Là où c'est bien utilisé c'est pour rendre compte de la cécité (comme dans "Blair Witch"), dans les apparts noirs et dans les combles.
Cloverfield c'était trop peu servi de la caméra subjective pour rendre compte de cet aveuglement, donc mon avis c'est que dans Cloverfield on en voit trop, la caméra est donc mal utilisé donc on flippe peu.
Préparez vous à sursautez quelques fois en voyant "REC" (moi perso malheureusement une fois seulement: sur l'ouverture de la trappe des combles), dans la salle globalement je pense qu'il y avait des habitués du genre car peu de murmures de frayeur.
Après forcément la limite à l'utilisation de la subjectivité, c'est la narration. Forcément on est limité dans le récit à une succession de scène chronologique, du coup impossible de perdre le spectateur dans un récit à base de flashback.
Sinon rien de nouveau sous le soleil, "REC" ne peut faire mieux que le "Zombis" numéro 2 de Romero (je le compare car on retrouve, des gens pris au piège, un confinement forcé, etc...)
Enfin pour une fois, le générique de fin est vachement tranché par rapport au film et donc on repart le cœur léger de la salle. Je vous conseille donc de rester en salle pour l'entendre.


Nous sommes peut être limités dans la narration, mais c'est également un avantage: en effet: lors du "meurtre" de la vieille femme, la présentatrice se fait repasser les images du caméraman, comme pour s'assurer de la véracité de ce qu'elle vient de voir.
Ce qui est filmé est donc vrai. Ce rapport à la réalité apporte au film une crédibilité incroyable je trouve.


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MessagePosté: Mar Juin 03, 2008 7:34 am 
Vieux Troll
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Inscription: Sam Fév 10, 2007 10:01 am
Messages: 706
Localisation: somewhere/sometime
ça m'a pas empéché de rire plus de fois que de n'avoir peur.
la seule fois où j'ai flippé c'est sur l'ouverture de la trappe des combles, le seul truc pas attendu du film. Le reste c'est gros comme une maison de milliardaire.

Reste un truc bien dans ce film, cette réplique: "C'est juste une angine!"
Vous verrez les angineux différements après...

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MessagePosté: Dim Juin 08, 2008 10:28 am 
Jeune Troll

Inscription: Jeu Juin 05, 2008 11:04 pm
Messages: 14
J'ai eu l'occasion récemment de voir REC, Cloverfield, et Diary of the Dead (de Romero). Pour des raisons différentes, j'ai bien aimé les 3.

REC: huit-clos plutôt rondement bien mené, le plus docu-réaliste des 3 à cet égard. La dernière partie m'a laissé plus sceptique par contre.

Cloverfield: le côté Cthulhu rencontre la Guerre des Mondes rencontre le 11 septembre était pas mal du tout. Après, il y a des choix scénaristiques qui ne vont pas casser 2 pattes à un canard, mais je m'attendais au pire, j'ai quand même bien été surpris dans le bon sens du terme.

Diary of the Dead: on ne se refait pas. J'aurais toujours un ptit a-priori favorable pour les trucs avec des Zombies. Pis j'aime bien Romero et son coté anar-hippie perdu dans le Village Global. Donc, malgré des personnages un peu fades, des scènes intermédiaires pas vraiment folichonnes, j'ai bien aimé le film.


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