ah oui, il faut vraiment que je passe de bonne heure demain... ^^"
Il faut aussi que je me fasse une liste de ce que je voudrais lire, du reste, vu que je suis coincée à la maison cette semaine ^^"
Mais pour en revenir à Lovecraft, je suis assez d'accord avec l'idée que son racisme venu de son éducation et maintenu par sa vie solitaire renforce ses écrits et si l'on lit son œuvre avec suffisamment d'ouverture d'esprit, on peut se rendre compte que finalement, c'est bien ce qu'on ne comprend pas qui nous fait le plus peur.
Et c'est cette "incompréhension", générant une angoisse poussée à son paroxysme, qui a, in fine, donné son génie à l'auteur.
C'est du moins mon point de vue humble, n'ayant pas tout lu non plus et n'ayant pas fait d'études de psycho
C'est pourquoi je crois qu'avoir un esprit ouvert et curieux amène souvent bien plus de bien que de mal (reste à ne pas trop naïf non plus, tout le monde "il est pas beau et il n'est pas gentil" ^^" - chose que j'ai tendance à croire ^^" - oups, j'aurais pas dû dire !
)Bref, je ne saurais que recommander l'auteur, pourquoi pas, pour les anglophone, l'excellent recueil commémoratif "Necronomicon - The Best Weird Tales of H.P. Lovecraft" outre le fait que c'est un très beau livre à mettre dans sa bibliothèque il est très complet.
Même si le titre est un peu racoleur, le contenu est fort intéressant (je n'ai pas encore tout lu, mais j'avance de temps à autres
), contient 36 textes dont justement "The horror at Red Hook" et "The Call of Cthuhlu" et une postface très instructive de Stephen Jones.Et puis on ne peut nier l'influence de ses œuvres sur des auteurs contemporains comme Clive Barker (ne seraient-ce que sa série "Books of Blood" ou "Cabal"), Stephen King, mais aussi Alan Moore ou Nail Gaiman. Des réalisateurs comme John Carpenter (rahh, j'adore Carpenter !
), Stuart Gordon ou Guillermo Del Toro (L'Echine du diable, je dirais, et Pan's labyrinth... mais encore une fois, ce sont des points de vue tout à fait personnels ^^")Voilà voilà..
Bon, je retourne lire un brin
justement Kats
