Nog a écrit:
Cela est encore plus valable dans notre culture où la mort est considérée comme une fatalité.
Et pourtant, une grande romancière britannique avait titré un de ses romans ainsi:
"La mort n'est pas une fin"
Est-ce qu'elle pensait vraiment? Peut-être. Après tout, je pense et je crois qu'il y'a des personnes en Europe qui, baignant dans cette culture du fatalisme de la mort, voye en elle une simple étape d'un long voyage.
Pour ma part, j'en suis incapable, mais j'ais connu une personne qui avait le courage, la sagesse et la volonté nécessaire. Je la soupsonne même d'avoir connu les circonstences de son décès bien avant qu'il ne se produise. Cette personne a mené des projets artistiques qui reflète son humeur jovial. Elle avait atteint le but qu'elle s'était fixé.
Tout cela pour dire, et là encore c'est un avis personnel donc hautement criticable, que pour certaine personnes avoir une intuition des cirsconstences de sa mort peut-être libérateur de la peur qu'elle inspire autrement. Après tout, l'Homme n'a t-il pas peur en général de l'inconnu? Sur ce point, je me rappelle qu'un prof de français ddisait que la peur de l'inconnu était normal et non répréhensible tant qu'elle ne nous dicte pas nos actes et nos pensées.
Mais, dans les grandes lignes j'abonde dans le sens de Nog. Bien que je pense que je ne ferais jamais des actions que je réprouverais... ceci n'est qu'une hypothèse gratuite, car en réalité, je ne sais nullement comment je réagirais.