Le précédent rapport est un exemple du genre, roleplay et tout et tout... Je me contenterai d'un rapport direct et technique

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Tout d'abord, plantons le décor:
Les morts-vivants d'Achéron, menés par Alderan et un cerbère, affrontent les Lions d'Alahan, guidés par Agonn l'Ardent et un chevalier sur destrier (pour faire simple).
Le résumé de la bataille :
En presque 5 ans de Confrontation, je crois ne jamais avoir eu autant de malchance qu'aujourd'hui.
Le détail des combats à présent :
Achéron déploie un centre fort et deux groupes de combat plus légers sur les ailes. Pour ma part, je reste bien groupé au centre pour bénéficier au maximum des effets de l'état-major et des bonus de force conférés par cette compo. Seul le chevalier sur destrier et le fusilier vétérant allié agissent de façon plus libre chez moi, alors que ce sont les deux centaures lourds MV qui se balladent chez mon adversaire.
On se retrouve donc avec une bonne grosse baston sur le pont central. Au moment de démarrer les combats, je dirai même que la situation m'est assez favorable:
* Alderan est chargé par trois figurines, dont deux capables de coups de maître (FOR 12 et 14 respectivement).
* L'état-major profite bien à tout le monde.
* Mon tireur met le cerbère directement en niveau de blessure grave et ce dernier est enlisé dans un pauvre combat l'opposant à un de mes valeureux gardes d'Alahan.
* Agonn est prêt à prendre la relève du combat contre Alderan, histoire d'en finir vite et bien.
Et là, c'est le drame...
Je cumule 7 "un" sur le premier tour de combat, dont 4 sur les premières attaques contre Alderan. Ce dernier n'a évidemment aucun mal a balayer mes figurines, purement offensives et construites en papier-mâché (c'est un peu le thème de cette compo: on tape fort avec plein de coups de maître partout et on encaisse pas un cachou). Presque toute la partie se joue à ce tour, le reste n'a fait que retarder l'inévitable, grâce à quelques coups d'éclats sans réelle portée sur le déroulement de la bataille : le tireur fait son boulot, tout comme le Chevalier sur Destrier et mes jets de blessures sur les squelettes en armure sont phénoménaux (pour ce que ça sert... ).
Je crois qu'hormis les jets de dés, aucune erreur décisive n'est venue perturber le cours de la confrontation et j'arrive finalement à un honorable total de 10 "un" que je qualifierai de "décisifs" (passons sur ceux "anecdotiques"), un total de 4 double six encaissés et un Pavois des Baronnies qui ne se met à fonctionner que lorsque mon personnage est déjà en niveau de blessure critique

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Vous l'aurez deviné, je me suis fait plier d'une force rare. Une branlée monumentale due, une fois n'est pas coutume, à ma "veine légendaire"

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De toute façon mon adversaire vous le dira, les Lions c'est des loosers, ils servent la Lumière...